L’immeuble forme l’angle entre la rue Guérin et une place carrée. Imaginé en brique afin de s’intégrer dans son environnement, dont il se distingue pourtant par sa volumétrie, le bâtiment regroupe les 8 logements (dont les surfaces sont supérieures aux standards en vigueur) en deux plots. Les appartements bénéficient d’une double, voire d’une triple orientation.
Situé dans le centre d’une commune d’un millier d’habitants, entre la Seine et la forêt, l’EHPAD dialogue avec son environnement grâce aux transparences, aux doubles orientations et aux percées visuelles qui ont été ménagées, y compris dans la galerie de service.
Situé au centre d’un bourg briard qui compte 5000 habitants et dont il respecte l’échelle, l’EHPAD est visible depuis la place de l’église et le château du duc d’Epernon. L’espace intérieur s’organise autour du jardin ménagé en cœur d’îlot. Les deux UPPD occupent une aile séparée.
Situé dans une commune picarde du Pays de Thelle qui compte un millier d’habitants, l’EHPAD se compose d’un bâtiment existant donnant sur rue et d’un bâtiment neuf situé entre cour et jardin. La transparence du rez-de-chaussée assure une continuité visuelle et donne à voir le jardin à l’anglaise.
Densifier tout en créant une continuité avec le gabarit environnant. Le bâtiment qui forme l’angle de la rue Franklin et du bd du Président Roosevelt, fait face au Marché du Canal couvert, principal marché de Mulhouse. Les logements sont largement vitrés. L’enveloppe est en béton autoplaçant.
Le bâtiment de logements se situe au bord de l’Orge, au centre d’Arpajon (10 000 habitants), à proximité de la place de la mairie, qui fait partie des sites classés.
Le dispositif en verre imaginé permet à la fois de le dissimuler et de le rendre visible par rapport à son voisinage qui a des airs de bourg de province.
La clinique de Meudon-la-Forêt est implantée dans le quartier du même nom qui a vu le jour dans les années 1960 à l’initiative de l’architecte Fernand Pouillon. L’extension, en béton
autoplaçant lasuré, ainsi que le bâtiment existant ont été recouverts d’un bardage en verre qui harmonise l’aspect du bâti tout en offrant des lectures différentes selon l’angle de vue depuis lequel on l’observe.
Cette enveloppe donne aussi une épaisseur à la façade grâce aux jeux d’ombre et de lumière.
Cela a également permis de ménager des passerelles métalliques qui servent à la fois de brise-soleil et pour l’entretien et le nettoyage des panneaux vitrés
L’EHPAD est implanté dans une commune de l’Oise de 1200 habitants. Il se situe sur un plateau, en bordure du bois d’Esches, environ 20 m au-dessus de la route et de la rivière du même nom.
Afin d’embrasser ce paysage composé de boisements et de cultures, les deux ailes du bâtiment qui abritent les chambres s’écartent pour accueillir au centre les lieux de vie qui s’ouvrent largement vers le sud, vers la vallée.
La tuile plate, tuile historique du bassin parisien, est employée pour l’ensemble de l’enveloppe, en lui associant divers principes de pose et diverses utilisations, selon qu’il s’agit du toit, de la façade, des pignons doublés d’une structure en bois ou des claustras qui entourent les espaces communs et où la tuile plate sert de brise-soleil.
Installé en partie dans des bâtiments de la ferme de Petit-Bourg à Evry, dont le nom
est lié à Amand Decauville (père de Paul, inventeur d’un système de voie ferrée qui porte son nom)
et à celui du pépiniériste Georges Delbard, l’EHPAD s’insère discrètement entre un tissu pavillonnaire, un château d’eau et une barre de logements des années 1950. Une partie
des bâtiments existant sur la parcelle est aménagée en résidence étudiants, ce qui favorise une mixité générationnelle.
Situé dans une commune dont le développement a été fortement influencé par l’implantation de l’usine Renault mais dont un tiers du territoire est encore destiné aux grandes cultures, l’EHPAD se trouve à proximité du grand ensemble du parc d’Acosta et en bordure des terres agricoles. Les chambres s’organisent autour de deux jardins qui préservent l’intimité, notamment lors des visites des familles. Les ailes destinées à l’hébergement sont reliées par les lieux de vie communs au nord-est et par une coursive extérieure au sud-ouest qui donne à voir le paysage des champs qui s’étendent à perte de vue.