Résidence Sociale Paris (75019)

LOGIREP souhaite réaliser une résidence sociale à l’angle de la rue Curial et de la rue Labois Rouillon Paris 19ème. Ce terrain est situé dans un quartier très hétérogène : immeubles de petite taille fin XIXème, début XXème et immeubles importants ou très importants des années 1970-1990. Le projet organisé autour d’un noyau central se développe sur les deux rues. Les logements prennent vue soit sur l’espace public, soit sur une cour intérieure. L’organisation du plan permet de transformer plusieurs studios en appartement. L’architecture du bâtiment est déterminée par trois éléments :

– Les règles urbaines et particulièrement la possibilité de retourner le volume de la rue Curial R+4 sur la rue Labois Rouillon R+2.

– La volonté du maître d’ouvrage de réaliser un ouvrage pérenne et répondant à la norme RT 2005.

– La décomposition des façades est suggérée dans le PLU de Paris : le rez-de-chaussée qui contient essentiellement les services, le corps du bâtiment R+4 et R+2 dessinés aux logements, et un couronnement. Le dernier étage est surhaussé d’une structure portant de la végétation ; il pourrait devenir un lieu d’agrément pour les habitants, puisque l’escalier aboutit à ce niveau.

Logements Pantin (93)

Le projet est implanté dans une rue qui témoigne du passé industriel de Pantin, sur une parcelle qui se déploie en profondeur, ayant appartenu
au fabricant d’équipements automobiles Pierre Marchal, fondateur de la SEV Marchal.
La conservation d’un petit bâtiment (R+4) sur la rue et de la structure d’une halle industrielle présente sur la parcelle, ainsi que l’idée d’aménager un jardin en cœur d’îlot, qui pourrait à terme devenir une voie publique, nous ont suggéré l’implantation des deux autres bâtiments de manière à assurer une perméabilité visuelle.
Le bâtiment neuf sur rue (R+5) respecte le gabarit de celle-ci, tandis que les bâtiments situés en cœur d’îlot sont plus bas (R+3).
Parmi les typologies, il y a 12 studios, 56 T2, 5 T3 et 8 T4 dont plusieurs en duplex. L’opération compte 30% de logements sociaux.

EHPAD Ablis (78)

L’EHPAD s’organise autour de sa relation avec la ville. L’espace de vie, la « place du village », est associé au parvis d’entrée et au jardin. Une perméabilité s’installe par son biais avec le patio central, qui crée des liens visuels entre les résidants des diverses unités.

EHPAD Draveil (91)

Les intentions du projet sont les suivantes :

Créer un bâti intégrant les contraintes urbaines et topographiques, en s’insérant au mieux dans l’environnement urbain des alentours.

Eviter la création de masque vis-à-vis des propriétés voisines.

Simplicité de lecture et de compréhension de l’organisation du bâtiment pour les utilisateurs

Un bâtiment adapté aux handicaps des personnes âgées.

L’établissement projeté comportera 37 chambres et 38 lits.

Le nouveau bâti adoptera la volumétrie de la construction existante et se situera au centre du terrain.

L’ EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) se compose de trois volumes comportant un rez-de-jardin, un rez-de-chaussée et un premier étage.

L’ensemble est recouvert d’une toiture terrasse accessible depuis un escalier métallique extérieur. Ces terrasses seront en majeure partie végétalisée. Conformément au code du travail, elles seront munies de garde-corps rétractables. La petite terrasse du R+1, par laquelle transite l’escalier ne sera pas accessible. Une grille, dans le prolongement de l’escalier empêche l’accès et sécurise le passage des utilisateurs. L’escalier dessert directement la terrasse végétalisée.

Deux parallélépipèdes en retrait sur l’avenue Gambetta et l’avenue Granger de même dimension et volumétrie et un troisième volume plus petit effectue la jonction entre les deux précédents. Le retrait par rapport aux avenues permet de trouver jardins et aire de livraison sur l’avenue Granger et places de stationnement et jardin sur l’avenue Gambetta. Le corps central faisant jonction permet de trouver 2 patios au rez-de-jardin permettant un apport de lumière au cœur des 2 bâtiments. L’entrée principale s’effectuera coté avenue Granger et une entrée annexe coté avenue Gambetta.

Les façades du projet sont rythmées par l’alternance de bandes verticales composées de menuiseries bois et (ou) de panneau composite bois et d’un treillage en bois fait de tasseaux verticaux.

Les façades du corps central donnant sur les patios adoptent un rythme légèrement différent. Celles-ci sont  beaucoup plus éclairées alternant menuiseries et panneaux composites bois.

Les menuiseries en bois sont toutes munies d’allèges vitrées fixes.

Les deux entrées sont marquées par un redent au niveau du rez-de-chaussée.

L’entrée piétonne et les livraisons se feront Avenue Granger et celle des véhicules Avenue Gambetta.

Nous conservons la majorité des arbres composés essentiellement de résineux et de platanes. 3 arbres vont être abattus pour permettre la construction de l’EHPAD et remplacés par des prunus qui agrémenteront les places de stationnement Avenue Gambetta.

Les deux patios du rez-de-jardin seront engazonnés et plantés d’arbustes.

La majeure partie de la terrasse (sauf terrasse technique) sera recouverte de végétalisations extensives.

Une partie du pignon coté Est sera agrémenté de plantes grimpantes, en l’occurrence du lierre.

Logements Montreuil (93)

Dans le Haut-Montreuil, à proximité des réservoirs d’eau, cette opération de logements vise à créer une connexion avec la future ZAC Boissière-Accacia,
afin de mieux intégrer ce quartier au reste de la ville.

Les logements s’organisent en 5 plots, installés en respectant la topographie du lieu, de façon à profiter au maximum de l’ensoleillement nature et de la double orientation.

Dans le jardin, une partie est aménagée en jardin humide. Environ la moitié des logements est constituée de logements sociaux.

L’opération comprend 5 studios, 17 T2, 43 T3, 28 T4 et 2 T5. Il est prévu que les bâtiments soient labellisés BBC.

Logements collectifs – Grenoble (38)

La Ville de Grenoble a engagé des études pour réaliser une opération d’habitat sur le triangle délimité par les rues Lucien Andrieux, Francis Jammes et Alfred de Vigny (2 ha).

Cette opération doit accompagner la reconstruction-démolition, sur le même site, de la résidence SONACOTRA.

Une résidence sociale de 227 logements est construite à l’extrémité sud des terrains. Elle remplace l’ancien foyer. Elle accueille dans des logements autonomes des jeunes en formation, des personnes isolées avec ou sans enfants, des couples sans enfant, des travailleurs immigrés vieillissants… 

Résidence étudiants Evry (91)

Les 115 logements étudiants sont en partie installés dans des bâtiments de la ferme de Petit-Bourg à Evry, dont le nom est lié à Amand Decauville (père de Paul, inventeur d’un système de voie ferrée qui porte son nom) et à celui du pépiniériste Georges Delbard.
Le programme s’insère discrètement entre un tissu pavillonnaire, un château d’eau et une barre de logements des années 1950.
Un EHPAD est implanté dans une partie des bâtiments existant sur la parcelle, ce qui favorise une mixité générationnelle.

MELUN (77)

Le futur centre technique municipal  accueille :

– stationnement bus, 18 remorques, et 12 véhicules légers,

– 8 boxes grillagés,

– un magasin général

– une espace bureaux aménagée sur la mezzanine

– un parc de stationnement extérieur de 30 places

Le nouveau centre est traité en bardage ondulé inox, les sheds et les  portiques d’entrée en polycarbonate translucide

Le bâtiment existant  sera habillé d’un bardage ondulé inox poli.

 

Logements Fontainebleau (77)

L’immeuble forme l’angle entre la rue Guérin et une place carrée. Imaginé en brique afin de s’intégrer dans son environnement, dont il se distingue pourtant par sa volumétrie, le bâtiment regroupe les 8 logements (dont les surfaces sont supérieures aux standards en vigueur) en deux plots. Les appartements bénéficient d’une double, voire d’une triple orientation.