EHPAD Asnières-sur-Seine (92)

Mis en avant

Ce programme s’inscrit pleinement dans les préoccupations actuelles de notre agence. Nous souhaitons concevoir une architecture simple, d’une grande rigueur constructive qui se traduirait par des  bâtiments exemplaires en terme de qualité d’usage et de développement durable. S’intégrant dans le tissu urbain très dense d’une commune qui compte près de 17 000 habitants/km², l’EHPAD est conçu comme un bâtiment compact. Les deux unités Alzheimer / UPPD sont réparties ainsi: une au rez-de-chaussée (10 lits), l’autre au 6e étage (15 lits). La volumétrie facilite le lien avec les typologies urbaines environnantes. Le bois, deuxième peau chaleureuse, filtre le regard et la lumière. Le contrôle des apports solaires se fait par les brise-soleil. Les balcons, accessibles depuis les chambres, constituent un prolongement agréable de l’espace de vie, tout comme la terrasse située au dernier étage qui donne à voir le paysage du Grand Paris.

 

EHPAD – Marseille (13)

Les travaux d’extension à rez-de-chaussée proposent la création d’un UPPD (unité protégée pour personnes désorientées) de 14 chambres simples (14 lits) et ses locaux associés (une salle d’activité, un salon, une salle-à-manger, un poste de soin, deux sanitaires publics, un rangement, un local technique ECS, un local technique climatisation, une unité propre et une unité sale).

Les travaux sur l’existant porteront dans un premier temps que sur la création d’une banque d’accueil accessible PMR et la transformation d’une chambre simple en bureau administratif. Le sous-sol, le rez-de-jardin, le premier et le deuxième étage existants ne subiront aucune modification.

Les façades de l’extension seront enduites couleur ocre-rouge en rappel du bâtiment « Aéria » à l’entrée du site. Ce choix produit une alternance de couleurs chaudes entre le bâtiment principal de l’EHPAD « Aéria », ton ocre-rouge, et les bâtiments « Meissel » existants, ton ocre-rose et ocre-orangé. Les façades de la nouvelle extension sont traitées dans l’épaisseur pour favoriser le confort solaire et thermique et intérieur. Cette épaisseur est traduite par des encadrements de fenêtre en débord des façades (+20cm de profondeur) qui seront traités de manière « monolithique », en continuité des entablements des menuiseries, et d’aspect béton gris-clair. Des stores bannes à projection
viendront compléter la protection solaire et dynamiser le rythme des façades.

Concernant la toiture de la nouvelle construction, le projet présente la possibilité d’une extension future à R+1. Ainsi, le choix c’est porté sur une toiture terrasse pour permettre cette évolutivité. Par ailleurs, le couronnement de la toiture bénéficie d’un traitement particulier afin d’assurer une continuité végétale avec le jardin. Ce couronnement est traité en garde-corps épais grâce à une jardinière profonde et soulignant le contour de la toiture terrasse. La hauteur du substrat est suffisante pour accueillir des graminées et plantes buissonnantes. Le parti végétal se porte sur un mélange de plantes grasses, de vivaces, de graminées et de plantes aromatiques (d’essences méditerranéennes ou acclimatées). La toiture terrasse n’accueillera aucun organe technique.

Les espaces extérieurs projetés sont constitués :

d’un jardin aménagé et largement planté (pelouses, arbres de haute-tige, haies et bosquets d’essence méditerranéenne) conservé et nettoyé;

d’un nouveau jardin pour personnes désorientées UPPD et ses 2 terrasses ;

de 2 terrasses attenantes à l’EHPAD Aéria conservés;

de 20 terrasses attenantes à L’EHPAD Meissel (16 sont privatives et destinées aux chambres à rez-de-chaussée, et 4, plus spacieuses, sont destinées aux parties communes) conservées et réparées;

d’une voirie d’accès intérieure en enrobé et en forme de «T» conservée et réparée;

de 3 parcs de stationnements extérieurs destinés au visiteur et au personnel sans distinction (un parc de stationnement de 5 places dont 1 PMR conservé (avec la place PMR signifiée) ; un parc de stationnement de 22 places remanié et planté, un parc de stationnement de 3 places en stabilisé le long de la voirie d’accès) ;

d’une place livraison à proximité du bâtiment Aéria 

EHPAD « Les Jardins de Sainte Baume » Nans-les-Pins (83)

Le projet consiste en :

Une première extension de 8 chambres EHPAD au Sud-Ouest, une deuxième extension au Nord-Est  (Résidence Services Seniors) de 20 appartements T1Bis, l’aménagement d’un parking face à l’aile RSS et la démolition d’un bâtiment annexe l’Ouest de l’EHPAD.

Le bâtiment existant accueillant l’EHPAD est composé de 2 ailes principales en RDJ/RDC et R+1 formant un S. Le volume EST en RDC est constitué principalement de l’accueil, de bureaux pour le personnel et de la salle de restaurant des résidents. Le volume OUEST accueille des chambres.

Le cœur du bâtiment est composé d’un patio.

L’extension de 8 chambres se développe sur 2 niveaux  et vient dans le prolongement de l’EHPAD. Elle reprend pour les teintes et matériaux de la construction à laquelle elle se lie) : enduit blanc et bardage bois. L’extension est en toiture terrasse et disposera de garde-corps. Les groupes de climatisation seront implantés en toiture et pourvus d’un bardage acoustique d’une hauteur de 180cm.

L’extension en RSS s’effectue depuis le hall d’accueil actuel en RDC et se développe sur forme de L  sur la partie Nord-Est du terrain en RDC et R+1. Elle reprend les teintes et matériaux du bâtiment principal d’origine : enduit ton terre (jaune orangé) Les  enduits existants et menuiseries abimés seront repris. L’ensemble des constructions sera donc homogène dans son traitement des façades. L’extension RSS est composée principalement de toiture en pente comme l’EHPAD existant. Les débords de toitures en tuiles seront constitués par des rang de génoises en tuile canal

Les bâtiments sont implantés dans un site au paysage déjà remarquable, le projet de plantations aura pour objectif d’intervenir ponctuellment », soit en cicatrisant les surfaces impactées par les constructions soit en introduisant des compositions pour le confort et l’agrément des résidents.

Les aires de stationnement seront ombragées par des tilleuls ou des érables champêtres,  permettant d’identifier l’aire  et de mieux se repérer dans le site. Des haies arbustives seront composées avec un mélange d’essences champêtres majoritairement indigènes  afin d’atténuer leur impact visuel depuis les chambres.  Ces arbustes auront pour caractère commun d’attirer les oiseaux ou les papillons, contribuant ainsi à l’animation et la biodiversité.

Au cœur même de l’Ehpad existant, un patio actuellement délaissé sera aménagé.

Toute la partie ouest du terrain sera laissé en l’état avec son boisement de pins et de chênes.

Au total, le projet paysager assurera l’insertion des nouveaux bâtiments dans un cadre végétal contribuant ainsi  au confort des futurs résidents.

La palette végétale mise en place sera volontairement limitée et sobre, de manière à la fois à donner de l’homogénéité au paysage et à garantir un entretien facile. Elle sera largement basée sur des végétaux déjà présents. Les végétaux utilisés auront de faibles besoins en eau.

L’ensemble de ces intégrations végétales contribuera largement à accroître le patrimoine végétal existant, en jouant sur plusieurs strates : arborée, arbustive et herbacée.

EHPAD Marcadet (75)

Mis en avant

L’édifice actuel depuis sa construction et son extension a toujours été exploité comme établissement de santé. Il est dans le cadre du projet transformé en EHPAD (Etablissement Hébergeant des Personnes Agées Dépendantes) pouvant accueillir 95 résidents. Il est constitué d’un R+2 partiel construit sur un niveau de sous-sol le tout s’organisant autour d’une cour.

Ce bâtiment est classé par la ville de Paris comme Bâtiment Remarquable. 

Ainsi il est prévu de restructurer et de surélever l’ensemble de l’édifice existant. 

Pour ce faire les dispositions suivantes seront respectées : 

– la conservation de l’ensemble de façades

– la conservation du niveau existant de la cour

– la mise en retrait d’une partie de la surélévation côté rue, afin de conserver « l’effet de dent creuse » retenu comme principe par la Commission du Vieux Paris.

Une écriture à la fois rythmique et rigoureuse de toutes les surélévations est la réponse apportée au langage architecturale de l’édifice existant. 

Les surélévations sur la rue se font en deux séquences ; la première s’appuie sur l’entablement du bâtiment au premier étage avec un léger retrait, la seconde très marquée au quatrième étage participe à l’effet de « dent creuse » de cette parcelle. 

Sur la cour l’écriture se poursuit, les retraits se conforment aux règles de prospect. La légère variation produite par le désaxement de la superposition des ouvertures accompagne la rythmique rigoureuse de la structure signifiée en façade par la trame régulière de poteaux. Cette écriture rythmée de l’extension est à la fois respectueuse de ce qui lui préexiste et prolonge, sans la caricaturer, l’architecture Art Déco de l’existant.

Cette trame est interrompue tous les deux niveaux par une fine corniche dans le respect et en adéquation des proportions de la façade existante. 

EHPAD Forest-sur-marque (59)

Le présent projet concerne :

l’extension du rez-de-chaussée de bâtiment avec 20 chambres pour avoir une augmentation capacitaire jusqu’à 100 lits. L’extension prévue nécessite de déplacer une unité Alzheimer dans l’extension.

la création des deux jardins thérapeutiques.

l’agrandissement de la salle à manger principale du bâtiment existant.

la création d’un nouveau espace animation dans une unité à RDC.

Les façades seront habillées en plaquettes de briques teinte foncée avec isolation extérieure afin de respecter la RT 2012. Les joints sont traités dans la même nuance.

 De grandes baies carrées éclaireront généreusement les chambres. Les espaces de vie seront vitrés toute hauteur.

Les menuiseries seront  en aluminium thermolaqué, gris foncé, RAL 9007, de manière à s’harmoniser avec la teinte de la brique.

Les jardins situés en lisière de la parcelle et celui situé entre l’existant et le bâtiment nouveau seront couverts de plantes tapissantes et arbustes locaux permettant de facilité l’entretien de ces espaces.

EHPAD Maisons-Laffitte (78)

Mis en avant

La réalisation est implantée à Maisons-Laffitte dans une parcelle triangulaire, face au plus ancien hippodrome de la région parisienne, qui s’étend sur la rive nord de la Seine. Situé dans une zone à risque du PPRI (Plan de Prévention des Risques d’Inondations), le terrain se trouve dans le « petit parc » du château de Maisons-Laffitte. Il est bordé par un espace inscrit au titre des Monuments Historiques. Le parti pris architectural et urbain a été de mettre en valeur la vue sur le paysage environnant (l’hippodrome et la Seine) et les caractéristiques formelles de la parcelle. Ces contraintes ont permis d’éviter la monotonie d’un alignement sur rue en cadrant la vue depuis chaque chambre. Une terrasse panoramique accessible surplombe le champ de courses. L’accentuation de l’horizontalité et l’utilisation du bois permettent d’inscrire discrètement le bâti dans ce paysage. Les espaces communs et de rencontres s’organisent entre patio et jardin et jouissent d’une double orientation. Par ailleurs, les circulations bénéficient d’éclairage et de ventilation naturels, ce qui rend plus lisibles les usages des espaces intérieurs par les utilisateurs.
D’un point de vue constructif, il s’agit de préfabrication lourde et d’utilisation du système Balloon Frame.

EHPAD – Robion (84)

Les travaux porteront principalement sur le réaménagement de l’entrée et de l’accueil, de certains locaux et la création d’une unité dédiée aux personnes désorientées au rez-de-chaussée dans le bâtiment existant.

Au sous-sol, il sera créé trois bureaux en lieu et place de l’ancienne salle à manger.

Au rez-de-chaussée, trois lits supplémentaires viendront compléter ceux existants.

La nouvelle unité dédiée aux personnes désorientées totalisera dix lits. L’ancien pavillon administratif sera converti en espace de vie et de détente, et en deux des trois chambres créées.

Au premier étage, il sera créé quatre lits dans l’ancien pavillon administratif.

Le deuxième étage ne subira aucune modification.

Résidence Service Seniors Neuilly-sur-Seine (92)

L’établissement s’inscrit dans le tissu urbain du boulevard du Château clairsemé et largement planté.

Les immeubles sont en retrait de l’alignement organisant ainsi de grands jardins d’entrée qui doublent les larges trottoirs plantés de deux rangées d’arbres et de massifs du boulevard du Château.

Le boulevard du Château est parallèle à la Seine et relie le centre de Neuilly-sur-Seine à Levallois.

Les bâtiments voisins sont pour la plupart des immeubles modernes à toiture terrasses, en pierre appareillées ou simili, datant du XXème siècle. Ils vont de quatre à neuf étages. Quelques immeubles à toitures mansardés d’un à deux étages viennent en complément.

Le présent projet de la Clinique Sainte-Isabelle concerne la transformation de la clinique Sainte-Isabelle en résidence séniors.

Elle compte 48 logements dont 31% sont des logements sociaux.

Le projet de surélévation rappelle sans pastiche l’identité architecturale (art décoratif) de l’édifice existant. Son écriture rationnelle, discrète et qualitative affirme une continuité des rythmes des fenêtres, de gabarit et de texture de façade. Il s’agit de révéler les strates architecturales et temporelles de l’édifice. Les corniches existantes du bâtiment A et B sont mises à l’honneur en reliant ses deux identités architecturales. La pertinence de ce parti architectural s’appuie sur une forme d’effacement consenti, sans pastiche et sans singularité.

Le parti pris des espaces extérieurs est de végétaliser la parcelle, d’offrir un jardin à la RSS et d’augmenter la surface de sol perméable. Malheureusement pour parvenir à cet objectif quatre arbres vont être remplacés car leurs positionnements actuels ne sont pas compatibles avec le nouveau plan masse de la parcelle.

Les arbres de remplacement seront tous choisis parmi ceux de la liste du règlement d’urbanisme de la Ville de Neuilly-sur-Seine.

Le jardin en limite de voirie est d’ores et déjà végétalisée. Cet espace est maintenu en l’état ; la circulation des véhicules est conservée avec un sens unique permettant de déposer les personnes devant l’entrée principale de la résidence.

Les pelouses, autour des arbres en place, seront remaniées et rafraîchies. La disposition actuelle des arbres est idéale pour, à la fois apporter beaucoup de fraîcheur à ce jardin et, à la fois, laisser une large étendue baignée de soleil devant la façade.

Devant les bâtiments du fond de parcelle, une cour, d’environ 350 m², est creusée et est entièrement perméable. Les 3 arbres de remplacement et les 5 arbres de complément sont destinés à prendre une belle hauteur compte tenu de leur situation : ensoleillement, protection aux vents, terre végétale de qualité et espace de développement racinaire…

Les accès délimités par une allée en béton désactivé en « triangle » sont tracés en prolongement de l’allée piétonne depuis le boulevard du Château jusqu’à l’entrée du bâtiment C. Une large pelouse borde ces cheminements jusqu’aux terrasses privées des logements du RDJ et accueille les arbres implantés dans la cour ; ces derniers sont disposés de telle sorte que leurs ombrages soient suffisants en été pour protéger les façades et dégagés de ces dernières pour qu’en hiver la lumière pénètre en suffisance.

La dénivellation nettement marquée depuis le jardin, est reprise par un escalier qui s’ouvre sur la cour en s’élargissant pour donner de l‘ampleur à ce « mini bois » en contrebas.

Logements Bois-Colombes (92)

Le projet s’inscrit sur une parcelle qui s’étire en cœur d’îlot. D’un côté, des locaux d’activités, de l’autre de l’habitat individuel ou collectif à l’angle des deux rues.

Les accès au terrain depuis le domaine public s’effectuent par deux rues : d’un côté une parcelle libre de toute construction, de l’autre une parcelle occupée aujourd’hui par un petit pavillon.

L’opération consiste donc à optimiser les parties constructibles (dans la bande de 15 mètres en priorité) et d’étudier en cœur d’îlot, en appui sur les mitoyens et dans le respect des prospects, un complément de constructions.

Ainsi les constructions suivent ce principe et se décomposent en 3 bâtiments : 2 dans la bande de 15 mètres et l’autre en cœur d’îlot.

L’annexe de la Mairie prend place au rez-de-chaussée, face à la place. Elle occupe la majeure partie de la façade.

Son volume est traversant, permettant un accès PMR aisé depuis le parking à l’arrière du bâtiment.

La dimension de ses baies vitrées lui confère son caractère institutionnel et participe à l’ordonnancement du projet.

La parcelle s’étire en cœur d’îlot, cœur d’îlot bordé de locaux d’activités ou d’habitat résidentiel individuel ou collectif.

Afin d’offrir une perspective, forme de perméabilité depuis la rue, l’accès unique aux logements s’effectue par une large grille sous porche laissant visible, depuis la place Jean Mermoz, le cœur de la parcelle. Il ne s’agit pas de « voir » mais de comprendre le lien morphologique entre la rue et cet espace résidentiel, de créer de la « porosité ».

Nous avons souhaité que l’accès aux logements s’effectue depuis une seule entrée. Ainsi, tout le monde passe par cet accès qui distribue tous les locaux (services et logements) ; ce point devient le lieu de rencontre autour duquel nous avons implanté l’espace de jardin partagé et le local des vélos et poussettes.

Lien collectif et distributif, il est à l’articulation des espaces collectifs et privés des trois bâtiments.

Si l’accès parking se fait côté pavillon pour les véhicules, la sortie tant par le monte-handicapé que par l’escalier se fait par la cour. Aussi, nous profitons de cette disposition pour aménager en fond de parcelle un ensemble de caves en sous-sol.

La dimension des baies de l’annexe de la Mairie imprime à la façade de l’immeuble son rythme.

Les larges baies des logements, la faible hauteur de leurs allèges, le choix de grands châssis coulissants permettent aux occupants de transformer leur salon en grande loggia à la belle saison, ensemble d’interventions qui participent à la qualité d’usage des logements et à la performance environnementale dans la mesure où ces logements bénéficient d’un très bon éclairage naturel.

L’emploi de la brique confère à l’angle de ces deux rues unité et qualité architecturale. Ainsi, qu’il soit construit en R+1+C ou R+3+combles, l’édifice puise sa force et son caractère dans les matériaux du bâtiment dominant contre lequel il s’appuie.

Une attention particulière sera portée à la couleur de la brique retenue pour toutes les façades de façon à minimiser les phénomènes d’obscurité notamment sur les façades Nord.

Le bâtiment A comporte 6 logements soit 6T2, 4 T3 et 1 studio.

Le bâtiment B comporte 5 logements soit 4 T2 et 1 T3

Enfin, le bâtiment C réunit les petits logements soit 6 T1.

Nous proposons aujourd’hui une distribution des appartements minorant les circulations pour offrir le maximum d’habitabilité dans les pièces.

Nous avons souhaité, en pied des logements situés en rez-de-chaussée, créer des petits espaces privatifs, mais aussi et au centre de la composition, créer un petit jardin partagé qui sera, lui, fortement minéralisé, permettant aux familles de se retrouver pour des moments conviviaux.

Logements Viry-Châtillon (91)

La parcelle se situe dans une zone pavillonnaire composée de maisons à 1 ou 2 étages avec combles.

Le projet comporte un logement sur 2 niveaux et un commerce avec des entrées distinctres sur chaque rue.

Côté route de Fleury, le commerce bénéficie d’une grande vitrine s’ouvrant sur un parvis en béton balayé gris clair type Portand. L’espace est non clos en prolongement de celui de la parcelle voisine.

Le parvis est planté de deux érables.

Côté avenue de la Forêt, le logement a un jardin  en pelouse agrémentée d’un érable.

Son entrée est en béton balayé type Portland.

Les façades sont traitées en en béton soigné type portland. Un soin particulier sera apporté au calepinage des banches et des trous de banche ; Les menuiseries sont en  aluminium thermolaqué RAL 7035. Les garde-corps et clôtures  barreaudage thermolaqué RAL 7035. Enfin la toiture est en bac acier – finition zinc ton quartz

Côté route de Fleury, le commerce bénéficie d’une grande vitrine s’ouvrant sur un parvis en béton balayé gris clair type Portand. L’espace est non clos en prolongement de celui de la parcelle voisine.

Le parvis est planté de deux érables.

Côté avenue de la Forêt, le logement a un jardin  en pelouse agrémentée d’un érable.

Son entrée est en béton balayé type Portland.

L’abri véhicule est une dalle sur 4 poteaux en béton gris clair.