Hotel – Paris (75)

RSS Athis-Mons (91)

Mis en avant

Le projet concerne la transformation de l’ancien Hôpital Privé Caron, son extension le long de la rue Caron en lieu et place de deux pavillons voués à la démolition et du réaménagement d’une maison bourgeoise sur un terrain adjacent situé côté rue d’Ablon.

Compte tenu de la forte déclivité des deux rues le bâtiment se développe sur 7 niveaux.

Le programme consiste à construire un ensemble immobilier comprenant :

une résidence services seniors classée en 3ème famille B collective de 93 logements (le pavillon rue d’Ablon est classé en 2ème famille)

un ensemble de services collectifs situés au RDC bas et destinés exclusivement aux résidents et à leurs invités, à savoir: piscine, restaurant, salle multimédia, bar, salon, gym, coiffure et soins esthétiques,

un parc de stationnement réservé aux résidents en extérieur et/ou sous-sol.

Le principe de départ de ce projet est basé sur la possibilité de conserver la structure de ce bâtiment composite et de lui redonner une unité architecturale qualitative.

Pour ce faire, il a été décidé de déposer les façades existantes sur l’ensemble du bâtiment tant pour pouvoir modeler une nouvelle peau autour du projet mais pour créer son isolation thermique puisqu’elle est inexistante aujourd’hui…

En second lieu, la totalité des éléments en superstructure dont les hauteurs sont supérieures à 0,60 m – adjonctions en périphérie du bâtiment principal – sera démolie.

C’est cette action primitive qui prévaut pour que la qualité de l’écriture architecturale soit mise en évidence.

Les façades seront couvertes d’un enduit ton pierre et les ouvertures seront agrémentées de balcons dont les garde-corps seront composés d’une tôle métallique – RAL 7037 – identique à celle des toitures.

Une main courante, au-dessus de la tôle, finira l’ensemble tout en l’allégeant visuellement.

Les façades du dernier volume rue Caron sera traitée en enduit gratté ton pierre foncée avec traitement en bossages aux angles et corniche en partie supérieure afin de créer une rupture de volume pour diminuer l’impacte de la masse bâtie.

Le bâtiment, au sud du terrain, sur la rue Caron, construit à la place des deux pavillons, sera posé sur un parking enterré.

Une partie de ce parking, sous la bande de retrait des 5 m est surbaissée pour permettre des plantations durables.

L’emprise de ce parking englobera cette bande de retrait et une partie des deux parcelles concernées.

Ce jardin se poursuivra jusqu’au bout du terrain, le long de la montée, en une suite d’espaces verts composites, alternant des couvres sols à fleurs plantés sur des formes de glacis pentus et des plates-bandes.

HAM (80)

Le projet consiste en une nouvelle construction en structure métallique modulaire destinée au stockage des emballages neufs vides.

L’accès depuis la voirie interne au site, est également créé pour permettre le déchargement et la manutention dans le bâtiment et fluidifier la circulation intérieure pour le reste du site.

La structure modulaire en acier a été choisie pour la rapidité du montage et pour sa qualité structurelle exigée par la réglementation incendie.

Les façades et la toiture sont en métal thermolaqué RAL 9006 et RAL 9007, un aspect aluminium, qui aura l’avantage de se confondre avec le ciel dégagé de la plaine.

La périphérie du bâtiment sera aménagée sur trois côtés par un revêtement perméable en sol stabilisé compacté.

EHPAD Asnières-sur-Seine (92)

Mis en avant

Ce programme s’inscrit pleinement dans les préoccupations actuelles de notre agence. Nous souhaitons concevoir une architecture simple, d’une grande rigueur constructive qui se traduirait par des  bâtiments exemplaires en terme de qualité d’usage et de développement durable. S’intégrant dans le tissu urbain très dense d’une commune qui compte près de 17 000 habitants/km², l’EHPAD est conçu comme un bâtiment compact. Les deux unités Alzheimer / UPPD sont réparties ainsi: une au rez-de-chaussée (10 lits), l’autre au 6e étage (15 lits). La volumétrie facilite le lien avec les typologies urbaines environnantes. Le bois, deuxième peau chaleureuse, filtre le regard et la lumière. Le contrôle des apports solaires se fait par les brise-soleil. Les balcons, accessibles depuis les chambres, constituent un prolongement agréable de l’espace de vie, tout comme la terrasse située au dernier étage qui donne à voir le paysage du Grand Paris.

 

Résidence Sociale Paris (75019)

LOGIREP souhaite réaliser une résidence sociale à l’angle de la rue Curial et de la rue Labois Rouillon Paris 19ème. Ce terrain est situé dans un quartier très hétérogène : immeubles de petite taille fin XIXème, début XXème et immeubles importants ou très importants des années 1970-1990. Le projet organisé autour d’un noyau central se développe sur les deux rues. Les logements prennent vue soit sur l’espace public, soit sur une cour intérieure. L’organisation du plan permet de transformer plusieurs studios en appartement. L’architecture du bâtiment est déterminée par trois éléments :

– Les règles urbaines et particulièrement la possibilité de retourner le volume de la rue Curial R+4 sur la rue Labois Rouillon R+2.

– La volonté du maître d’ouvrage de réaliser un ouvrage pérenne et répondant à la norme RT 2005.

– La décomposition des façades est suggérée dans le PLU de Paris : le rez-de-chaussée qui contient essentiellement les services, le corps du bâtiment R+4 et R+2 dessinés aux logements, et un couronnement. Le dernier étage est surhaussé d’une structure portant de la végétation ; il pourrait devenir un lieu d’agrément pour les habitants, puisque l’escalier aboutit à ce niveau.

Logements collectifs – Grenoble (38)

La Ville de Grenoble a engagé des études pour réaliser une opération d’habitat sur le triangle délimité par les rues Lucien Andrieux, Francis Jammes et Alfred de Vigny (2 ha).

Cette opération doit accompagner la reconstruction-démolition, sur le même site, de la résidence SONACOTRA.

Une résidence sociale de 227 logements est construite à l’extrémité sud des terrains. Elle remplace l’ancien foyer. Elle accueille dans des logements autonomes des jeunes en formation, des personnes isolées avec ou sans enfants, des couples sans enfant, des travailleurs immigrés vieillissants… 

Logements collectifs – Corbeille-Essonnes (91)

En remplacement d’un foyer vétuste et situé en cœur de ville, la SONACOTRA décide de construire ce foyer neuf, considérant que la réhabilitation n’est pas économiquement viable. Le règlement très particulier de CORBEIL– ESSONNES impose des toits à pentes à la Mansard.

Le projet présente donc un étage sous combles avec un brisis quasi vertical. L’ ABF et le Maire tenaient par ailleurs à conserver une grosse villa typique des bords de Seine de cette banlieue résidentielle.

Des espaces collectifs y sont donc aménagés ainsi que le logement de fonction. Le plan se présente sous une configuration de bâtiments autour d’un patio, aménagé en espace paysager convivial. La hauteur des crues a imposé de sur- élever le rez-de-chaussée en faisant en sorte que le foyer reste accessible aux personnes à mobilité réduite et que les fonctions techniques soient préservées.