Clinique Alleray-Labrouste Paris (75)

EHPAD Laon (02)

Le projet permet de valoriser la relation qu’entretient la maison de retraite avec le grand paysage et son parc et d’améliorer son insertion urbaine en qualifiant l’entrée de ville. Le bâti se développe sur un seul niveau et sa volumétrie est imaginée en référence à la maison individuelle, afin d’introduire une dimension domestique, aussi bien en termes d’organisation spatiale que de forme urbaine. Le projet est donc imaginé comme un morceau de ville et comme un liant qui assure la cohésion humaine, favorise la communication et les échanges et fédère les bâtis disparates. En tant que morceau de ville, l’EHPAD est structuré autour de plusieurs jardins-squares.Les places, espaces où se déroulent les différentes activités et animations, les salles à manger, les salons, donnent sur ces patios et sont toujours au cœur du dispositif, qu’il s’agisse de l’ensemble de l’EHPAD, des nouvelles unités d’accueil, Alzheimer et psycho-gériatrie, ou de la future extension. Le même principe est ainsi décliné à différentes échelles.

Crèche EHPAD et commerce à Saint-Germain-en-Laye ( 78)

Le bâtiment, qui répond à de multiples enjeux urbains, naît d’une volonté d’affirmer fortement et d’exprimer formellement les liens entre les divers usagers, les différentes classes d’âge, les habitants du quartier et ceux qui viendront y travailler.

Il participe à la fabrication d’un front bâti qui sert d’interface entre la route et le nouveau quartier, assure une perméabilité visuelle d’est en ouest pour connecter ce quartier à la forêt de Saint-Germain-en-Laye et associe l’échelle domestique de l’habitat environnant et le paysage forestier à travers une volumétrie compacte.

Le patio, cœur du projet, participe aux relations et aux échanges entre les enfants de la crèche et les résidents de l’EHPAD. Végétalisé, il apporte de la fraîcheur en été et représente une terrasse abritée du vent qui permet de profiter de l’intersaison.

Le volume de l’édifice, ainsi percé, favorise le repérage spatial et temporel et les relations visuelles.

L’enveloppe du bâtiment se déploie, en fonction de l’orientation, alternant surfaces vitrées et panneaux de bois prépatiné qui rythment le bâtiment et accentuent sa verticalité.

EHPAD Saint-Martin-de-Fontenay (14)

 Il s’agit d’un programme qui s’adapte aux dernières dispositions d’accompagnement et de prévention des nouvelles pathologies, maladie d’Alzheimer et toutes formes de démences séniles. Il a été imaginé afin que les espaces s’adaptent parfaitement au fonctionnement de l’établissement dans le respect et pour le bien être de ses occupants.

 Afin de garantir la sécurité et la surveillance des patients, le projet a été conçu comme un lieu refermé. Un principe d’espaces clos qui s’applique aussi bien à l’intérieure en regroupant les chambres autour des unités de vie, qu’à l’extérieur en regroupant les bâtiments autour d’un patio.

 Cet espace est organisé comme un cloître propice à la détente comme à la promenade en évitant toute possibilité de cul de sac. Son calage altimétrique détermine l’ensemble de l’Implantation des constructions pour présenter un niveau uniforme du rez-de-chaussée. Il détermine également le niveau des jardins extérieurs clos pour permettre la libre déambulation des patients en supprimant toute possibilité de franchissement.

Les constructions abritent:

un espace réservé à l’accueil et à l’administration,

un espace de restauration réservé également à l’entretien et à l’intendance,

deux unités de vie Identiques et disposés symétriquement comprenant, un local de soins, les chambres, l’unité de jour(salon salle à manger), un coiffeur et les locaux des différents intervenants médicaux et des sanitaires et pièces de services.

L’insertion dans le site est respectueuse de l’esprit du parc.

Le projet étant réalisé sur un terrain relativement vallonné, son implantation résulte à la fois de la volonté de limiter au maximum les mouvements de terre, tout en conservant une planimétrie satisfaisante et en permettant de régler les impératifs liés aux réseaux.

Les façades sont largement vitrées afin de permettre au x pensionnaires d’être visuellement en lien direct avec le patio ainsi que le parc.

Le bâtiment habillé d’une peau en bardeaux de bois se marie harmonieusement avec les bâtiments adjacents.

Implanté en fond de parcelle, aux abords de l’ancienne route départementale n0233 pour permettre la réalisation d’extensions futures, le projet est accessible depuis la rue du Canada pour ne pas créer d’accès nouveau depuis la départementale n0562, conformément au POS.

EHPAD Vaugrigneuse (91)

Extension et restructuration du château de la Fontaine aux Cossons (début XXe siècle). Chambres ouvrant sur le paysage rural et le chemin de randonnée, visant à révéler le lit d’un ancien ruisseau.

Technique constructive basée sur l’utilisation de prémurs et le développement de panneaux préfabriqués en béton, teintés dans la masse.

Résidence seniors Mézy-sur-Seine (78)

Mézy-sur-Seine est une commune de 2000 habitants située dans le parc naturel régional du Vexin français.
La résidence seniors réunit une maison de maître du XIXe siècle et une construction récente, dissimulée pour profiter de la déclivité naturelle du terrain et du jardin et pour minimiser l’impact sur le paysage environnant. Les chambres s’ouvrent vers le sud et offrent des vues vers le jardin. L’organisation spatiale et le principe structurel qui en découle sont facilement lisibles.

Résidence Sociale Paris (75019)

LOGIREP souhaite réaliser une résidence sociale à l’angle de la rue Curial et de la rue Labois Rouillon Paris 19ème. Ce terrain est situé dans un quartier très hétérogène : immeubles de petite taille fin XIXème, début XXème et immeubles importants ou très importants des années 1970-1990. Le projet organisé autour d’un noyau central se développe sur les deux rues. Les logements prennent vue soit sur l’espace public, soit sur une cour intérieure. L’organisation du plan permet de transformer plusieurs studios en appartement. L’architecture du bâtiment est déterminée par trois éléments :

– Les règles urbaines et particulièrement la possibilité de retourner le volume de la rue Curial R+4 sur la rue Labois Rouillon R+2.

– La volonté du maître d’ouvrage de réaliser un ouvrage pérenne et répondant à la norme RT 2005.

– La décomposition des façades est suggérée dans le PLU de Paris : le rez-de-chaussée qui contient essentiellement les services, le corps du bâtiment R+4 et R+2 dessinés aux logements, et un couronnement. Le dernier étage est surhaussé d’une structure portant de la végétation ; il pourrait devenir un lieu d’agrément pour les habitants, puisque l’escalier aboutit à ce niveau.

Logements Pantin (93)

Le projet est implanté dans une rue qui témoigne du passé industriel de Pantin, sur une parcelle qui se déploie en profondeur, ayant appartenu
au fabricant d’équipements automobiles Pierre Marchal, fondateur de la SEV Marchal.
La conservation d’un petit bâtiment (R+4) sur la rue et de la structure d’une halle industrielle présente sur la parcelle, ainsi que l’idée d’aménager un jardin en cœur d’îlot, qui pourrait à terme devenir une voie publique, nous ont suggéré l’implantation des deux autres bâtiments de manière à assurer une perméabilité visuelle.
Le bâtiment neuf sur rue (R+5) respecte le gabarit de celle-ci, tandis que les bâtiments situés en cœur d’îlot sont plus bas (R+3).
Parmi les typologies, il y a 12 studios, 56 T2, 5 T3 et 8 T4 dont plusieurs en duplex. L’opération compte 30% de logements sociaux.

EHPAD Draveil (91)

Les intentions du projet sont les suivantes :

Créer un bâti intégrant les contraintes urbaines et topographiques, en s’insérant au mieux dans l’environnement urbain des alentours.

Eviter la création de masque vis-à-vis des propriétés voisines.

Simplicité de lecture et de compréhension de l’organisation du bâtiment pour les utilisateurs

Un bâtiment adapté aux handicaps des personnes âgées.

L’établissement projeté comportera 37 chambres et 38 lits.

Le nouveau bâti adoptera la volumétrie de la construction existante et se situera au centre du terrain.

L’ EHPAD (établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) se compose de trois volumes comportant un rez-de-jardin, un rez-de-chaussée et un premier étage.

L’ensemble est recouvert d’une toiture terrasse accessible depuis un escalier métallique extérieur. Ces terrasses seront en majeure partie végétalisée. Conformément au code du travail, elles seront munies de garde-corps rétractables. La petite terrasse du R+1, par laquelle transite l’escalier ne sera pas accessible. Une grille, dans le prolongement de l’escalier empêche l’accès et sécurise le passage des utilisateurs. L’escalier dessert directement la terrasse végétalisée.

Deux parallélépipèdes en retrait sur l’avenue Gambetta et l’avenue Granger de même dimension et volumétrie et un troisième volume plus petit effectue la jonction entre les deux précédents. Le retrait par rapport aux avenues permet de trouver jardins et aire de livraison sur l’avenue Granger et places de stationnement et jardin sur l’avenue Gambetta. Le corps central faisant jonction permet de trouver 2 patios au rez-de-jardin permettant un apport de lumière au cœur des 2 bâtiments. L’entrée principale s’effectuera coté avenue Granger et une entrée annexe coté avenue Gambetta.

Les façades du projet sont rythmées par l’alternance de bandes verticales composées de menuiseries bois et (ou) de panneau composite bois et d’un treillage en bois fait de tasseaux verticaux.

Les façades du corps central donnant sur les patios adoptent un rythme légèrement différent. Celles-ci sont  beaucoup plus éclairées alternant menuiseries et panneaux composites bois.

Les menuiseries en bois sont toutes munies d’allèges vitrées fixes.

Les deux entrées sont marquées par un redent au niveau du rez-de-chaussée.

L’entrée piétonne et les livraisons se feront Avenue Granger et celle des véhicules Avenue Gambetta.

Nous conservons la majorité des arbres composés essentiellement de résineux et de platanes. 3 arbres vont être abattus pour permettre la construction de l’EHPAD et remplacés par des prunus qui agrémenteront les places de stationnement Avenue Gambetta.

Les deux patios du rez-de-jardin seront engazonnés et plantés d’arbustes.

La majeure partie de la terrasse (sauf terrasse technique) sera recouverte de végétalisations extensives.

Une partie du pignon coté Est sera agrémenté de plantes grimpantes, en l’occurrence du lierre.

Logements Montreuil (93)

Dans le Haut-Montreuil, à proximité des réservoirs d’eau, cette opération de logements vise à créer une connexion avec la future ZAC Boissière-Accacia,
afin de mieux intégrer ce quartier au reste de la ville.

Les logements s’organisent en 5 plots, installés en respectant la topographie du lieu, de façon à profiter au maximum de l’ensoleillement nature et de la double orientation.

Dans le jardin, une partie est aménagée en jardin humide. Environ la moitié des logements est constituée de logements sociaux.

L’opération comprend 5 studios, 17 T2, 43 T3, 28 T4 et 2 T5. Il est prévu que les bâtiments soient labellisés BBC.