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  • EHPAD Milly la Forêt (91)

    09-02-16

    Ce programme s’inscrit pleinement dans les préoccupations actuelles de notre agence.

    Nous souhaitons concevoir une architecture simple, d’une grande rigueur constructive qui se traduirait par des  bâtiments exemplaires en terme de qualité d’usage et de développement durable.

    Le projet s’intègre dans le futur quartier des Bas-Heurts à Noisy-Le-Grand qui s’organise le long d’un parc linéaire Nord-Sud à forte intensité urbaine avec ses nombreuses promenades, ses espaces récréatifs, ses équipements sportifs et ses places offerts aux futurs habitants.

    Le projet est en relation forte avec cet axe majeur aussi appelé « la Promenade des Jardins ». Il s’intègre dans l’aménagement urbain en participant à la fabrication d’un front bâti poreux le long de cette promenade.

    Plusieurs principes d’aménagement ont été développés :

    L’implantation urbaine des immeubles permettent des vues diagonales, des profondeurs de champs et un éloignement de la ligne d’horizon vers le paysage alentour.

     L’EHPAD, situé en retrait de la voie nouvelle et de la Promenade Des Jardins, est révélé à travers les percées visuelles organisées par les jardins. Celles-ci se prolongent aussi à travers les espaces de vie du rez-de-chaussée de l’EHPAD, mettant en connexion les différents jardins.

    Devant la crèche et l’EHPAD, la place qui a fonction d’espace de rencontres pour habitants, parents et enfants, permet de s’attarder un peu, d’échanger et de jouir du plein air.

    La mise en relation entre les trois bâtiments se distingue autant par les matériaux que par les couleurs de façade. Ce traitement non uniforme confère une échelle plus intermédiaire au sein de l’ilot.

    Enfin la couleur offre un point de repère dans l’espace. Par exemple, le plot A identifié par sa brique moirée rose-rouge vient marquer l’angle de l’ilot le long de la Promenade des Jardins.

    Les jardins sont largement plantés afin de réduire au maximum l’artificialisation des sols de la parcelle.

    Cette continuité paysagère permet également une continuité écologique par la diversification des plantes endogènes et une gestion raisonnée des eaux pluviales.

    Les cheminements intérieurs de la parcelle sont connectés avec le réseau piéton urbain. Ils sont conçus pour une invitation à la déambulation : le cheminement paysager est non rectiligne  en relation avec les jardins intérieurs.

  • Logements collectifs – Sarcelles (95)

    01-04-16
  • EHPAD Avenay-Val-d’Or (51)

    09-07-15
  • Logements Evry (91) – Ratisbonne

    06-02-15
  • EHPAD Lagny (77)

    05-29-15

    L’implantation du bâtiment a été dictée par les contraintes urbanistiques et les constructions environnantes. Le bâtiment est positionné en milieu du site pour profiter au
    maximum des apports solaires passifs et pour limiter les ombres portées sur les bâtiments avoisinants.
    L’accès aux vues est privilégié pour les chambres et les lieux de vie des résidents.
    Le classement au bruit des façades respectera ces exigences par la structure en béton plein et l’isolant exterieur notamment le long de la voie rapide.
    L’éclairage nocturne prévu sera suffisant pour sécuriser les espaces extérieurs. Nous veillerons à limiter les consommations électriques des éclairages par un éclairage direct
    et performant.

    Le terrain retenu pour l’implantation du bâtiment, particulièrement enclavé, de forme parallélépipédique, est bordé sur ses 4 côtés par des terrains d’habitation, l’un chemin
    et d’une voie rapide.
    L’E.H.P.A.D. se développe en forme de couronne sur trois étages L’architecture rigoureuse traduit à la fois la quête d’un équilibre volontairement assumé mais sait aussi se
    montrer pertinente quand il faut intégrer ce bâtiment dans un environnement patrimonial ancien.

    L’identité du bâtiment se construit progressivement autour de ces propositions :
    1. Les façades se courbent et forme une enveloppe « tout en douceur » qui se déroule autour d’un patio centré sur l’édifice.
    2. Le décalage du rythme de la fenestration, associé, aux angles du bâtiment traités tout en courbe, confère au bâtiment son identité singulière.
    3. La peau du bâtiment, réalisée en enduit blanc, est lumineuse et naturelle à l’image de la pierre. Dans un souci de simplicité mais aussi d’authenticité, le matériau de
    façade retenu, favorise l’insertion du bâtiment dans son environnement.

    Le traitement paysager est organisé autour de 3 jardins et d’un patio

    Au-delà de ces jardins, des espaces verts sont aménagés sur les espaces médians avec les immeubles d’habitation voisins.

    Les espaces de jardins dévolus au PASA et à l’UPPD sont forcément limités et sécurisés. Pour éviter l’effet de ségrégation, plusieurs idées sont au cœur de nos préoccupations
    et de notre proposition :

    1. Utiliser des plantes de couvrement et des arbres favorisant une relation douce et sensible avec les résidents
    2. Arborer les limites de propriété comme des fonds de scènes pour dégager au maximum les vues et construire ainsi le paysage
    3. Produire des jeux d’ombres sur les terrasses et balcons

    Les jardins sont composés de telle sorte qu’aucun espace ne soit caché à la surveillance, mais leur taille permet de les étoffer produisant une sensation de confort et de
    protection.
    Aussi, le pourtour traité en haie toujours en feuilles (charmes marcescents) constitue un écran naturel au vent et préserve l’intimité des résidents.
    Un cheminement dessiné par les treilles est à la fois protecteur du soleil et du vent et à la fois un guide de la promenade.

    Enfin, le patio, lien visuel entre les différentes parties de cet établissement permet aux résidents, à la mi-saison, de pouvoir profiter de vues sur un espace extérieur
    harmonieux de contemplation.

    Au cœur de ce jardin, trois espaces particuliers reprennent cette écriture : le jardins UPPD et le jardin du PASA. On y déambule autour d’un massif composé entre autres de
    magnolias et spirées qui émergent des allées. Outre la lisière, un rideau de faux-jasmin, pommiers et charme vient clôturer avec délicatesse ces espaces.

  • Hôpital privé du Val d’Yerres (91)

    11-25-13
  • EHPAD Montmagny (95)

    10-03-13

    Créer un bâtiment compact qui renforce la trame urbaine et fasse le lien entre les différents types de tissus urbains qui l’entourent, entre les diverses typologies architecturales,
    entre les différentes hauteurs de bâti, du pavillonnaire et des grands ensembles, qui témoignent des profondes mutations subiesdepuis une cinquantaine d’années par Montmagnyqui fait partie de la Communauté d’Agglomération de la Vallée de Montmorency.
    Imaginer l’organisation spatiale interne de façon à superposer les lieux de rencontre, les espaces communs et à les ouvrir sur la rue principale, tout en préservant une double orientation.

     

  • EHPAD Goussainville (95)

    10-02-13

    Introduire de l’urbanité, c’est-à-dire du savoir-vivre ensemble, dans un environnement pavillonnaire, par le biais d’un EHPAD, telle est l’ambition
    de ce projet. C’est pourquoi le bâtiment établit un dialogue avec l’espace de la rue vers laquelle il s’ouvre largement. Son implantation permet de créer une sorte de place, séparée de l’espace public par une clôture légère et transparente. L’enveloppe en bois local vient souligner la volonté d’en faire un lieu de socialisation accueillant.

  • EHPAD Longpont-sur-Orge (91)

    09-25-13

    La restructuration lourde du Pavillon d’Orléans a permis d’aménager 35 chambres autour de la cour. Ce Pavillon fait partie des communs du château de Lormoy, ayant appartenu à la famille de raffineurs Say et servi de résidence d’été à Léopold II, roi des Belges, en 1906 et 1907. Sur chaque niveau la salle commune est au cœur du dispositif, espace ouvert et lumineux qui facilite la sociabilité et assure un cadre serein aux résidents.Toutes les circulations disposent d’un éclairage naturel.

  • Clinique Alleray-Labrouste Paris (75)

    09-22-13