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EHPAD Marcadet (75)
09-02-22L’édifice actuel depuis sa construction et son extension a toujours été exploité comme établissement de santé. Il est dans le cadre du projet transformé en EHPAD (Etablissement Hébergeant des Personnes Agées Dépendantes) pouvant accueillir 95 résidents. Il est constitué d’un R+2 partiel construit sur un niveau de sous-sol le tout s’organisant autour d’une cour.
Ce bâtiment est classé par la ville de Paris comme Bâtiment Remarquable.
Ainsi il est prévu de restructurer et de surélever l’ensemble de l’édifice existant.
Pour ce faire les dispositions suivantes seront respectées :
– la conservation de l’ensemble de façades
– la conservation du niveau existant de la cour
– la mise en retrait d’une partie de la surélévation côté rue, afin de conserver « l’effet de dent creuse » retenu comme principe par la Commission du Vieux Paris.
Une écriture à la fois rythmique et rigoureuse de toutes les surélévations est la réponse apportée au langage architecturale de l’édifice existant.
Les surélévations sur la rue se font en deux séquences ; la première s’appuie sur l’entablement du bâtiment au premier étage avec un léger retrait, la seconde très marquée au quatrième étage participe à l’effet de « dent creuse » de cette parcelle.
Sur la cour l’écriture se poursuit, les retraits se conforment aux règles de prospect. La légère variation produite par le désaxement de la superposition des ouvertures accompagne la rythmique rigoureuse de la structure signifiée en façade par la trame régulière de poteaux. Cette écriture rythmée de l’extension est à la fois respectueuse de ce qui lui préexiste et prolonge, sans la caricaturer, l’architecture Art Déco de l’existant.
Cette trame est interrompue tous les deux niveaux par une fine corniche dans le respect et en adéquation des proportions de la façade existante.
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EHPAD – Robion (84)
02-08-22Les travaux porteront principalement sur le réaménagement de l’entrée et de l’accueil, de certains locaux et la création d’une unité dédiée aux personnes désorientées au rez-de-chaussée dans le bâtiment existant.
Au sous-sol, il sera créé trois bureaux en lieu et place de l’ancienne salle à manger.
Au rez-de-chaussée, trois lits supplémentaires viendront compléter ceux existants.
La nouvelle unité dédiée aux personnes désorientées totalisera dix lits. L’ancien pavillon administratif sera converti en espace de vie et de détente, et en deux des trois chambres créées.
Au premier étage, il sera créé quatre lits dans l’ancien pavillon administratif.
Le deuxième étage ne subira aucune modification.
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Logements Bois-Colombes (92)
07-30-18Le projet s’inscrit sur une parcelle qui s’étire en cœur d’îlot. D’un côté, des locaux d’activités, de l’autre de l’habitat individuel ou collectif à l’angle des deux rues.
Les accès au terrain depuis le domaine public s’effectuent par deux rues : d’un côté une parcelle libre de toute construction, de l’autre une parcelle occupée aujourd’hui par un petit pavillon.
L’opération consiste donc à optimiser les parties constructibles (dans la bande de 15 mètres en priorité) et d’étudier en cœur d’îlot, en appui sur les mitoyens et dans le respect des prospects, un complément de constructions.
Ainsi les constructions suivent ce principe et se décomposent en 3 bâtiments : 2 dans la bande de 15 mètres et l’autre en cœur d’îlot.
L’annexe de la Mairie prend place au rez-de-chaussée, face à la place. Elle occupe la majeure partie de la façade.
Son volume est traversant, permettant un accès PMR aisé depuis le parking à l’arrière du bâtiment.
La dimension de ses baies vitrées lui confère son caractère institutionnel et participe à l’ordonnancement du projet.
La parcelle s’étire en cœur d’îlot, cœur d’îlot bordé de locaux d’activités ou d’habitat résidentiel individuel ou collectif.
Afin d’offrir une perspective, forme de perméabilité depuis la rue, l’accès unique aux logements s’effectue par une large grille sous porche laissant visible, depuis la place Jean Mermoz, le cœur de la parcelle. Il ne s’agit pas de « voir » mais de comprendre le lien morphologique entre la rue et cet espace résidentiel, de créer de la « porosité ».
Nous avons souhaité que l’accès aux logements s’effectue depuis une seule entrée. Ainsi, tout le monde passe par cet accès qui distribue tous les locaux (services et logements) ; ce point devient le lieu de rencontre autour duquel nous avons implanté l’espace de jardin partagé et le local des vélos et poussettes.
Lien collectif et distributif, il est à l’articulation des espaces collectifs et privés des trois bâtiments.
Si l’accès parking se fait côté pavillon pour les véhicules, la sortie tant par le monte-handicapé que par l’escalier se fait par la cour. Aussi, nous profitons de cette disposition pour aménager en fond de parcelle un ensemble de caves en sous-sol.
La dimension des baies de l’annexe de la Mairie imprime à la façade de l’immeuble son rythme.
Les larges baies des logements, la faible hauteur de leurs allèges, le choix de grands châssis coulissants permettent aux occupants de transformer leur salon en grande loggia à la belle saison, ensemble d’interventions qui participent à la qualité d’usage des logements et à la performance environnementale dans la mesure où ces logements bénéficient d’un très bon éclairage naturel.
L’emploi de la brique confère à l’angle de ces deux rues unité et qualité architecturale. Ainsi, qu’il soit construit en R+1+C ou R+3+combles, l’édifice puise sa force et son caractère dans les matériaux du bâtiment dominant contre lequel il s’appuie.
Une attention particulière sera portée à la couleur de la brique retenue pour toutes les façades de façon à minimiser les phénomènes d’obscurité notamment sur les façades Nord.
Le bâtiment A comporte 6 logements soit 6T2, 4 T3 et 1 studio.
Le bâtiment B comporte 5 logements soit 4 T2 et 1 T3
Enfin, le bâtiment C réunit les petits logements soit 6 T1.
Nous proposons aujourd’hui une distribution des appartements minorant les circulations pour offrir le maximum d’habitabilité dans les pièces.
Nous avons souhaité, en pied des logements situés en rez-de-chaussée, créer des petits espaces privatifs, mais aussi et au centre de la composition, créer un petit jardin partagé qui sera, lui, fortement minéralisé, permettant aux familles de se retrouver pour des moments conviviaux.
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Logements Viry-Châtillon (91)
07-30-18La parcelle se situe dans une zone pavillonnaire composée de maisons à 1 ou 2 étages avec combles.
Le projet comporte un logement sur 2 niveaux et un commerce avec des entrées distinctres sur chaque rue.
Côté route de Fleury, le commerce bénéficie d’une grande vitrine s’ouvrant sur un parvis en béton balayé gris clair type Portand. L’espace est non clos en prolongement de celui de la parcelle voisine.
Le parvis est planté de deux érables.
Côté avenue de la Forêt, le logement a un jardin en pelouse agrémentée d’un érable.
Son entrée est en béton balayé type Portland.
Les façades sont traitées en en béton soigné type portland. Un soin particulier sera apporté au calepinage des banches et des trous de banche ; Les menuiseries sont en aluminium thermolaqué RAL 7035. Les garde-corps et clôtures barreaudage thermolaqué RAL 7035. Enfin la toiture est en bac acier – finition zinc ton quartz
Côté route de Fleury, le commerce bénéficie d’une grande vitrine s’ouvrant sur un parvis en béton balayé gris clair type Portand. L’espace est non clos en prolongement de celui de la parcelle voisine.
Le parvis est planté de deux érables.
Côté avenue de la Forêt, le logement a un jardin en pelouse agrémentée d’un érable.
Son entrée est en béton balayé type Portland.
L’abri véhicule est une dalle sur 4 poteaux en béton gris clair.
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Bureaux Paris (75)
07-30-18Le projet de surélévation ajoute deux niveaux supplémentaires de plancher soit la création d’un 5ème et 6ème étage. La modénature de cette nouvelle façade se construit sur un rythme régulier de poteau formant des stries, entre lesquels s’incorpore – en retrait – les châssis vitrés toute hauteur.
Au 6ème étage, pour des raisons de respect du gabarit règlementaire, la façade est en retrait de 2 mètres. Ce retrait est constitué d’une couverture zinc.
La façade du 5ème étage, quant à elle, n’est que très légèrement en retait (60 cm) par rapport à celle d’origine. Cette disposition permet de mieux marquer la distinction entre façade historique et façade contemporaine. La façade du 4ème étage – après dépose de la charpente et de la couverture zinc – est la copie conforme de celle du niveau supérieur.
La distinction entre ces niveaux se fait par une corniche évoquant le prolongement des planchers.
La façade du 3ème étage quant à elle se pare du même d’un habillage du même matériau que la nouvelle façade pour une nécessité d’intégration.
Côté cour, la façade est traitée à l’identique que côté rue. N’ayant pas de contrainte de gabarit de ce côté là, la façade du 6ème étage n’est pas en retrait et s’aligne sur les étages inférieurs. Ce dernier étage accueille une terrasse dans le volume de l’enveloppe construite.
La toiture est traitée de deux manières différents de par et d’autres de la ligne de faîtage. Côté Boulevard, la toiture est un terrasson zinc afin de s’intégrer au mieux à la nouvelle façade et à l’identité urbaine parisienne. Tandis que côté coeur d’ilôt, une toiture terrasse végétalisé est mise en place afin d’assurer une régulation du débit des eaux pluviales et de participer à la régulation thermique et hygrométrique du milieu urbain.
La surélévation se veut à l’échelle du Boulevard de Charonne. Son écriture participe à une lisibilité contemporaine de l’architecture tout en développant une résonnance avec la façade historique.
Cette nouvelle façade est entièrement parée de métal, les éléments de couverture sont en zinc tandis que les meneaux et les menuiseries seront en aluminium.
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Logement Villandry (37)
09-07-17
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EHPAD Marcadet (75)
09-02-22 -
EHPAD – Robion (84)
02-08-22 -
Logements Bois-Colombes (92)
07-30-18 -
Logements Viry-Châtillon (91)
07-30-18 -
Bureaux Paris (75)
07-30-18 -
Logement Villandry (37)
09-07-17