Clinique Jules-Vallès Athis-Mons (91)

Mis en avant

Le projet d’extension augmente la surface bâtie de 1940.5 m2, surface correspondant à la création d’une aile, côté Sud-Ouest sur les niveaux R+1 et R+2, la création de parking d’une capacité de stationnement de 102 places sur trois niveaux, rez-de-chaussée haut, rez-de-chaussée bas et rez-de-jardin (dont 2 niveaux semi-enterrés).

 

Le projet doit permettre principalement :

1) Le réaménagement du service d’hémodialyse.

2) Le réaménagement du service des consultations.

3) La création de 7 chambres adaptées aux PMR : 

4) Une nouvelle gestion des approvisionnements et du stockage du service d’hémodialyse et consultations.

5) Une nouvelle gestion des archives.

7) L’optimisation des flux horizontaux et verticaux.

8) Le réaménagement du hall, 

9) La réation en extension de son service administratif, des bureaux et de la buanderie.

10) La réation en extension d’un  service l’ambulatoire.

11) Le réaménagement de la cour de stationnement avec la création d’un parking de 120 places de stationnement sur trois niveaux, rdc haut,  enterrés les niveaux rdc bas, rdj et ses contrôles d’accès.

 

Cette extension s’aligne sur la façade existante formant ainsi un bâtiment en U. Afin de préserver la circulation des véhicules de secours, la façade latérale est implantée en retrait de la limite séparative. 

Le choix du complexe des façades de l’extension permet une fluidité de lumière et de transparence tant par son volume que par sa hauteur.

Le complexe est composé de deux peaux, la première transparente sur toute sa hauteur et la seconde est composée suivant l’aménagement intérieur d’une partie pleine et d’une partie vitrée.

 

 

EHPAD Sarcelles (95)

Le bâtiment s’inscrit sur une parcelle en lisière de l’Impasse des Saules. Son gabarit en R+1 participe à l’harmonie du paysage résidentiel.
Les accès sont réunis le long de la façade Ouest. Une galerie constitue l’élément de protection de l’ensemble des accès : EHPAD, accueil de jour et services.
Des locaux ouverts au public sont positionnés de façon stratégique entre la galerie et l’EHPAD, alliant ainsi sécurité et ouverture de l’établissement sur la Ville. La distribution des locaux s’organise autour de deux patios. Les espaces de vie, salons et salles à manger sont positionnés au centre et sont donc accessibles d’une façon équilibrée par tous les résidents.
La fenestration des chambres est généreuse. Un système d’occultation régule la lumière et limite les apports de chaleur.
Le bâtiment, conforme à la Réglementation Thermique 2012 est réalisé en briques isolantes, matériaux dont l’inertie participe au confort thermique des résidents.
Les couleurs des matériaux, contrastées et non agressives, facilitent le déplacement des personnes dans la résidence.
Les arêtes vives sont proscrites, les barres d’appui ou mains-courantes sont largement étendues sur le parcours afin de soulager la personne et retarder l’usage du déambulateur.
La maison se veut simple, compacte, lumineuse, garante de la vie, tantôt sociale, tantôt personnelle de ses occupants.


LA FORME DU JARDIN présentera avant tout une accessibilité aisée à tous ; les personnes doivent pouvoir se déplacer en fauteuil ou à l’aide de matériel (canne, déambulateur…) sans obstacle. Le revêtement de sol sera le plus lisse possible sans glisser, sans dévers ni pentes.
Le regard devra pouvoir suivre le cheminement depuis l’entrée du jardin sur sa plus grande longueur.
Le parcours se fera à travers les plantes odorantes afin de stimuler au passage le plaisir de retrouver les parfums connus.

LES ESSENCES seront choisies pour répondre aux besoins des ateliers et des promenades, d’une part, et pour délimiter, par leur emprise, des zones référentielles pour les résidents (atelier, promenade, cueillette…)

Ateliers : prévoir des plantes potagères et aromatiques à planter au fil des saisons dans les jardinières.
Promenade : implanter des bordures de plantes très parfumées non toxiques de développement moyen inférieur à 1 m (lavande, romarin…) pour accompagner les résidents dans leurs déplacements.
Cueillette : prévoir une palette de mixed-border pour les bulbes et fleurs à couper tout au long de l’année ainsi que des palissages de fruitiers nains pour faciliter la cueillette des fruits (pommiers, poiriers, pruniers et figuiers) et des plants de petits fruits rouges, le long des lignes de clôture entre PASA et accueil de jour…
Les clôtures sont à traiter de façon très marquée pour que le regard s’appuie sur elles et pour qu’elles servent de support à différentes plantes grimpantes colorées et nourricières pour les espèces d’oiseaux de la région ou d’abri pour la faune locale.

Enfin et pour conclure, il est indispensable de planter des arbres de haut jet, outre la conservation de ceux qui sont en place, afin de protéger ces jardins du soleil et des vents dominants.

Résidence Service Seniors Neuilly-sur-Seine (92)

L’établissement s’inscrit dans le tissu urbain du boulevard du Château clairsemé et largement planté.

Les immeubles sont en retrait de l’alignement organisant ainsi de grands jardins d’entrée qui doublent les larges trottoirs plantés de deux rangées d’arbres et de massifs du boulevard du Château.

Le boulevard du Château est parallèle à la Seine et relie le centre de Neuilly-sur-Seine à Levallois.

Les bâtiments voisins sont pour la plupart des immeubles modernes à toiture terrasses, en pierre appareillées ou simili, datant du XXème siècle. Ils vont de quatre à neuf étages. Quelques immeubles à toitures mansardés d’un à deux étages viennent en complément.

Le présent projet de la Clinique Sainte-Isabelle concerne la transformation de la clinique Sainte-Isabelle en résidence séniors.

Elle compte 48 logements dont 31% sont des logements sociaux.

Le projet de surélévation rappelle sans pastiche l’identité architecturale (art décoratif) de l’édifice existant. Son écriture rationnelle, discrète et qualitative affirme une continuité des rythmes des fenêtres, de gabarit et de texture de façade. Il s’agit de révéler les strates architecturales et temporelles de l’édifice. Les corniches existantes du bâtiment A et B sont mises à l’honneur en reliant ses deux identités architecturales. La pertinence de ce parti architectural s’appuie sur une forme d’effacement consenti, sans pastiche et sans singularité.

Le parti pris des espaces extérieurs est de végétaliser la parcelle, d’offrir un jardin à la RSS et d’augmenter la surface de sol perméable. Malheureusement pour parvenir à cet objectif quatre arbres vont être remplacés car leurs positionnements actuels ne sont pas compatibles avec le nouveau plan masse de la parcelle.

Les arbres de remplacement seront tous choisis parmi ceux de la liste du règlement d’urbanisme de la Ville de Neuilly-sur-Seine.

Le jardin en limite de voirie est d’ores et déjà végétalisée. Cet espace est maintenu en l’état ; la circulation des véhicules est conservée avec un sens unique permettant de déposer les personnes devant l’entrée principale de la résidence.

Les pelouses, autour des arbres en place, seront remaniées et rafraîchies. La disposition actuelle des arbres est idéale pour, à la fois apporter beaucoup de fraîcheur à ce jardin et, à la fois, laisser une large étendue baignée de soleil devant la façade.

Devant les bâtiments du fond de parcelle, une cour, d’environ 350 m², est creusée et est entièrement perméable. Les 3 arbres de remplacement et les 5 arbres de complément sont destinés à prendre une belle hauteur compte tenu de leur situation : ensoleillement, protection aux vents, terre végétale de qualité et espace de développement racinaire…

Les accès délimités par une allée en béton désactivé en « triangle » sont tracés en prolongement de l’allée piétonne depuis le boulevard du Château jusqu’à l’entrée du bâtiment C. Une large pelouse borde ces cheminements jusqu’aux terrasses privées des logements du RDJ et accueille les arbres implantés dans la cour ; ces derniers sont disposés de telle sorte que leurs ombrages soient suffisants en été pour protéger les façades et dégagés de ces dernières pour qu’en hiver la lumière pénètre en suffisance.

La dénivellation nettement marquée depuis le jardin, est reprise par un escalier qui s’ouvre sur la cour en s’élargissant pour donner de l‘ampleur à ce « mini bois » en contrebas.

Logements Bois-Colombes (92)

Le projet s’inscrit sur une parcelle qui s’étire en cœur d’îlot. D’un côté, des locaux d’activités, de l’autre de l’habitat individuel ou collectif à l’angle des deux rues.

Les accès au terrain depuis le domaine public s’effectuent par deux rues : d’un côté une parcelle libre de toute construction, de l’autre une parcelle occupée aujourd’hui par un petit pavillon.

L’opération consiste donc à optimiser les parties constructibles (dans la bande de 15 mètres en priorité) et d’étudier en cœur d’îlot, en appui sur les mitoyens et dans le respect des prospects, un complément de constructions.

Ainsi les constructions suivent ce principe et se décomposent en 3 bâtiments : 2 dans la bande de 15 mètres et l’autre en cœur d’îlot.

L’annexe de la Mairie prend place au rez-de-chaussée, face à la place. Elle occupe la majeure partie de la façade.

Son volume est traversant, permettant un accès PMR aisé depuis le parking à l’arrière du bâtiment.

La dimension de ses baies vitrées lui confère son caractère institutionnel et participe à l’ordonnancement du projet.

La parcelle s’étire en cœur d’îlot, cœur d’îlot bordé de locaux d’activités ou d’habitat résidentiel individuel ou collectif.

Afin d’offrir une perspective, forme de perméabilité depuis la rue, l’accès unique aux logements s’effectue par une large grille sous porche laissant visible, depuis la place Jean Mermoz, le cœur de la parcelle. Il ne s’agit pas de « voir » mais de comprendre le lien morphologique entre la rue et cet espace résidentiel, de créer de la « porosité ».

Nous avons souhaité que l’accès aux logements s’effectue depuis une seule entrée. Ainsi, tout le monde passe par cet accès qui distribue tous les locaux (services et logements) ; ce point devient le lieu de rencontre autour duquel nous avons implanté l’espace de jardin partagé et le local des vélos et poussettes.

Lien collectif et distributif, il est à l’articulation des espaces collectifs et privés des trois bâtiments.

Si l’accès parking se fait côté pavillon pour les véhicules, la sortie tant par le monte-handicapé que par l’escalier se fait par la cour. Aussi, nous profitons de cette disposition pour aménager en fond de parcelle un ensemble de caves en sous-sol.

La dimension des baies de l’annexe de la Mairie imprime à la façade de l’immeuble son rythme.

Les larges baies des logements, la faible hauteur de leurs allèges, le choix de grands châssis coulissants permettent aux occupants de transformer leur salon en grande loggia à la belle saison, ensemble d’interventions qui participent à la qualité d’usage des logements et à la performance environnementale dans la mesure où ces logements bénéficient d’un très bon éclairage naturel.

L’emploi de la brique confère à l’angle de ces deux rues unité et qualité architecturale. Ainsi, qu’il soit construit en R+1+C ou R+3+combles, l’édifice puise sa force et son caractère dans les matériaux du bâtiment dominant contre lequel il s’appuie.

Une attention particulière sera portée à la couleur de la brique retenue pour toutes les façades de façon à minimiser les phénomènes d’obscurité notamment sur les façades Nord.

Le bâtiment A comporte 6 logements soit 6T2, 4 T3 et 1 studio.

Le bâtiment B comporte 5 logements soit 4 T2 et 1 T3

Enfin, le bâtiment C réunit les petits logements soit 6 T1.

Nous proposons aujourd’hui une distribution des appartements minorant les circulations pour offrir le maximum d’habitabilité dans les pièces.

Nous avons souhaité, en pied des logements situés en rez-de-chaussée, créer des petits espaces privatifs, mais aussi et au centre de la composition, créer un petit jardin partagé qui sera, lui, fortement minéralisé, permettant aux familles de se retrouver pour des moments conviviaux.

Logements Viry-Châtillon (91)

La parcelle se situe dans une zone pavillonnaire composée de maisons à 1 ou 2 étages avec combles.

Le projet comporte un logement sur 2 niveaux et un commerce avec des entrées distinctres sur chaque rue.

Côté route de Fleury, le commerce bénéficie d’une grande vitrine s’ouvrant sur un parvis en béton balayé gris clair type Portand. L’espace est non clos en prolongement de celui de la parcelle voisine.

Le parvis est planté de deux érables.

Côté avenue de la Forêt, le logement a un jardin  en pelouse agrémentée d’un érable.

Son entrée est en béton balayé type Portland.

Les façades sont traitées en en béton soigné type portland. Un soin particulier sera apporté au calepinage des banches et des trous de banche ; Les menuiseries sont en  aluminium thermolaqué RAL 7035. Les garde-corps et clôtures  barreaudage thermolaqué RAL 7035. Enfin la toiture est en bac acier – finition zinc ton quartz

Côté route de Fleury, le commerce bénéficie d’une grande vitrine s’ouvrant sur un parvis en béton balayé gris clair type Portand. L’espace est non clos en prolongement de celui de la parcelle voisine.

Le parvis est planté de deux érables.

Côté avenue de la Forêt, le logement a un jardin  en pelouse agrémentée d’un érable.

Son entrée est en béton balayé type Portland.

L’abri véhicule est une dalle sur 4 poteaux en béton gris clair.

Bureaux Paris (75)

Le projet de surélévation ajoute deux niveaux supplémentaires de plancher soit la création d’un 5ème et 6ème étage. La modénature de cette nouvelle façade se construit sur un rythme régulier de poteau formant des stries, entre lesquels s’incorpore – en retrait – les châssis vitrés toute hauteur.

Au 6ème étage, pour des raisons de respect du gabarit règlementaire, la façade est en retrait de 2 mètres. Ce retrait est constitué d’une couverture zinc.

La façade du 5ème étage, quant à elle, n’est que très légèrement en retait (60 cm) par rapport à celle d’origine. Cette disposition permet de mieux marquer la distinction entre façade historique et façade contemporaine. La façade du 4ème étage – après dépose de la charpente et de la couverture zinc – est la copie conforme de celle du niveau supérieur.

La distinction entre ces niveaux se fait par une corniche évoquant le prolongement des planchers.

La façade du 3ème étage quant à elle se pare du même d’un habillage du même matériau que la nouvelle façade pour une nécessité d’intégration.

Côté cour, la façade est traitée à l’identique que côté rue. N’ayant pas de contrainte de gabarit de ce côté là, la façade du 6ème étage n’est pas en retrait et s’aligne sur les étages inférieurs. Ce dernier étage accueille une terrasse dans le volume de l’enveloppe construite.

La toiture est traitée de deux manières différents de par et d’autres de la ligne de faîtage. Côté Boulevard, la toiture est un terrasson  zinc afin de s’intégrer au mieux à la nouvelle façade et à l’identité urbaine parisienne. Tandis que côté coeur d’ilôt, une toiture terrasse végétalisé est mise en place afin d’assurer une régulation du débit des eaux pluviales et de participer à la régulation thermique et hygrométrique du milieu urbain.

La surélévation se veut à l’échelle du Boulevard de Charonne. Son écriture participe à une lisibilité contemporaine de l’architecture tout en développant une résonnance avec la façade historique.

Cette nouvelle façade est entièrement parée de métal, les éléments de couverture sont en zinc tandis que les meneaux et les menuiseries seront en aluminium.

Bureaux Courbevoie (92)

L’insertion dans le site se veut  un positionnement urbain  marquant l’entrée de l’établissement.

La partie sur rue est  principalement en moellons. Les chainages d’angle sont en briques rouges. Les linteaux sont en briques rouges et en enduit ton pierre. .La toiture terrasse est marquée par une corniche très travaillée en briques et enduit. Les menuiseries sont en PVC blanc.

La partie sur cour est en enduit ton pierre avec des menuiseries en PVC blanc. La toiture terrasse est marquée par une corniche très travaillée.

L’objet du projet est de créer des bureaux supplémentaires en R+1 du bâtiment C. L’extension s’apparente à une surélévation du  volume à RDC. Elle sera à l’alignement de l’acrotère périphérique existant.